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AccueilDossierAbécédaire de la distribution automatique

Abécédaire de la distribution automatique

Selon son habitude à l’occasion de Vending Paris, la rédaction de DA MAG utilise l’alphabet pour parcourir les tendances de fond ou en devenir, susceptibles de compléter les connaissances des professionnels de la distribution automatique et de la caféterie.

Ambiance

« L’année 2018 s’est caractérisée par une situation atone », résume Matthieu Turpain, le délégué général de NAVSA ne constatant pas d’évolutions marquées dans l’activité des gestionnaires de distributeurs automatiques. Malgré une certaine vigilance et un marché très concentré, les professionnels sont pourtant conscients des opportunités de développement. Outre l’arrivée de nouveaux produits qui diversifient l’offre en répondant aux nouvelles attentes des consommateurs, la multiplication des modes de paiement favorise les systèmes sans contact, et l’organisation du travail dans les entreprises contribue à la création de lieux de rencontre des salariés. En revanche, ce dernier point est à nuancer par la progression du télétravail qui concerne 29 % des salariés en 2018 (25 % en 2017) selon un sondage de l’Ifop mené pour Malakoff Médéric Humanis. Si le domicile reste le lieu prépondérant du télétravail pour 92 % de ceux qui le pratique, les salariés peuvent aussi y recourir dans « un lieu tiers » (21 %) comme un café ou un espace de coworking, ou dans un « bureau satellite » (35 %) c’est-à-dire dans un site différent du leur mais de la même société. Les ordonnances de l’automne 2017 qui ont réformé le Code du travail simplifie le recours au télétravail, et les professionnels du Vending comme ceux de la caféterie doivent désormais tenir compte de ces incitations des pouvoirs publics pour mieux définir leurs prestations aux entreprises où l’organisation du travail prend de nouveaux visages.

Barista

La montée en gamme du café remet à l’honneur le métier de barista. La mise en scène de la prestation, qui tend à faire vivre au consommateur une « expérience », a intronisé cet expert souvent comparé à un oenologue. Si l’oenologue comme le barista sont tous deux à même de dégager le profil organoleptique l’un du vin, l’autre du café, le barista a la particularité de manipuler la matière première pour la transformer. Cette dimension technique lui confère quasiment un statut de Chef. Au point qu’en 2018, la profession est entrée dans les catégories consacrées par les concours MOF.

Clean label

Dans la langue de Molière, cet anglicisme conduit les industriels à apposer des listes d’ingrédients les plus courtes possibles sur les étiquettes afin de garantir qu’un produit contient des ingrédients simples, naturels et facilement identifiables. Au-delà de la réduction des additifs artificiels et de la suppression des substances les plus controversées comme le E171, le challenge du clean label intègre les questions d’authenticité, de traçabilité, de développement durable, de produits élaborés en toute transparence par de vraies personnes à partir de procédés traditionnels dans le respect de la planète, des hommes et du bien-être animal. A l’occasion de M.A.D.E, la veille réalisée par GL Events, l’organisateur du salon, a identifié qu’au niveau mondial, les trois quarts des consommateurs seraient prêts à payer plus cher pour des produits à base d’ingrédients qu’ils reconnaissent, et que le marché des produits clean label devrait atteindre les 180 milliards de dollars d’ici à 2020. Parmi les allégations jugées « très intéressantes » ou « intéressantes » par l’étude Food 360 de Kantar TNS, les consommateurs hissent le « sans pesticides », les « ingrédients 100 % naturels » et le « sans conservateurs » en tête de leurs attentes. Ces items sont talonnés par l’absence d’OGM, d’arômes artificiels, de colorants, d’huile de palme et d’édulcorants de synthèse.

Digital

Les écrans digitaux ont signé la dématérialisation de l’espace de sélection, et ont ainsi ouvert des possibilités infinies de présentation des prestations disponibles dans l’automate. Les visuels et les pictogrammes permettent de montrer à quoi ressemble le produit final, un atout en ce qui concerne les boissons chaudes autrefois visibles seulement à la fin de la distribution. Grâce aux images en haute définition qui s’affichent sur les écrans, le consommateur sait désormais ce qu’il va obtenir au terme de son achat, et peut même y lire des informations sur les allergènes et autres données purement nutritionnelles. Surtout, l’écran digital rapproche l’utilisateur de la machine car la navigation qu’il propose épouse les réflexes acquis par l’utilisation du smartphone, objet du quotidien. La plupart des nouveaux appareils sont d’ailleurs désormais dotés d’écrans où l’on peut « swiper » c’est-à-dire « balayer » du bout du doigt. Le saviez-vous ? A l’origine, le mot « digital » est un anglicisme. En effet « digit » signifie tout simplement « chiffre » dans la langue de Shakespeare. Le terme s’oppose donc en réalité à l’analogique.

EGA

Les Etats Généraux de l’Alimentation ont marqué l’actualité en 2018. Malgré une faible notoriété auprès des consommateurs (d’après Nielsen, seulement 13 % des ménages savent de quoi il s’agit, tandis qu’un foyer sur trois dit « connaître » le nouveau système de prix sur les promotions), il n’en reste pas moins que les EGA se sont soldés par la déterminante Loi Agriculture et Alimentation. Deux axes majeurs ont retenu l’attention des médias. Le premier concerne la hausse du seuil de revente à perte de 10 %, impactant de fait le pouvoir d’achat des consommateurs mais censée aider les producteurs à mieux gagner leur vie. Le second, la loi impose aux collectivités à horizon 2022 que les menus comportent au moins 50 % de produits issus de circuits courts ou d’un label qualité, dont un minimum de 20 % provenant de l’agriculture biologique. Si l’état d’esprit des EGA tendait à fédérer toute la chaîne de compétences autour de la répartition de la valeur, l’expérience déterminera si cet effort collectif aura mené à un nouvel équilibre qui soit vertueux pour chacun.

Froid

La course au développement durable s’invite dans la grande majorité des appels d’offre auxquels répondent les gestionnaires. Ainsi, l’industrie de la DA se réinvente pour développer des groupes de réfrigération toujours plus verts, sous l’impulsion de la législation qui incite à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Aujourd’hui, les gaz dits « écologiques » les plus renommés sont le R134A, ainsi que le gaz naturel CO2. Dans sa dernière étude, l’European Vending & Coffee Association relève l’orientation du marché français en faveur des équipements dotés de systèmes de conservation mixtes (ambiant et réfrigéré). Pouvant accueillir des boissons fraîches, des snacks et des produits alimentaires à durée de vie courte, les nouvelles solutions polyvalentes sont dotées d’un niveau élevé de conscience écologique.

Gobelets

Avec une mise en place attendue le 1er janvier 2020, l’interdiction du plastique à usage unique soulève de nombreuses interrogations liées à la superposition des textes législatifs européens et hexagonaux qui rendent le dossier complexe et épineux. A l’heure où nous mettons cette édition sous presse, il convient de retenir que la distribution automatique bénéficie d’une exception. Cela signifie que l’utilisation des gobelets en plastique devrait être autorisée par la profession car en l’espèce et en vertu de la réglementation européenne sur les emballages, le contenant est indissociable du contenu. Face à l’importance des pressions citoyennes et médiatiques, la recherche de solutions alternatives et éco-responsables mobilise les fournisseurs qui, après avoir été audités par NAVSA, testent actuellement la machinabilité de ces solutions. Reste à mesurer les capacités de production des fournisseurs et les surcoûts entraînés par ces solutions qui vont dans le sens de l’histoire.

Humain

Métier de service, la DA ne saurait exclure cet aspect. En effet, les machines ne se remplissant pas encore seules, c’est l’approvisionneur qui endosse cette partie de la prestation. Véritable relais de l’image du gestionnaire, c’est bien lui qui est en contact avec les entreprises et leurs employés. Pour remettre à l’honneur cet indispensable maillon de la chaîne, la NAVSA organise pour la deuxième fois un concours qui récompense le métier d’approvisionneur à l’occasion du salon Vending Paris.

Intelligence artificielle

L’IA présente dans toutes les machines de dernière génération permet de récolter des informations, de les traiter et de calculer des variables pour à terme décider d’une action à engager. Elle a transformé le rapport du consommateur à l’automate, en lui donnant une capacité à communiquer avec ce dernier. Ainsi, l’automate développe une expérience de shopping augmentée où le consommateur se sent accueilli, identifié et accompagné dans son acte d’achat… comme s’il était guidé par un vendeur en chair et en os ! Couplée à une application téléchargée sur les supports mobiles des consommateurs, l’Intelligence Artificielle permet entre autres au gestionnaire de garder un lien avec les consommateurs tout au long de la journée par le truchement de notifications push. Le gestionnaire dispose donc d’un outil efficace pour développer une stratégie proactive.

Lumière

Elle fait partie intégrante de la mise en valeur de la pause-café. Dans les bureaux, ce sont bien des jeux de lumière qui délimitent les coffee corners, espaces de détente, tout en développant une atmosphère que l’ère du temps veut « cocooning ». En ce qui concerne les freestandings, l’éclairage est primordial puisque c’est lui qui met en valeur l’assortiment. Des leds et autres dispositifs de rétroéclairage viennent aussi délimiter les espaces de sélection lorsque la machine n’est pas dotée d’écran, la zone réservée au paiement ou la zone où récupérer le produit distribué. Enfin, en termes de design, les leds de différentes couleurs soulignent les arêtes des DA comme des Table Tops, et participent de la customisation des équipements.

Matières premières

Le café, le cacao et le sucre sont des productions agricoles soumises aux caprices de la météo qui impactent mécaniquement le niveau des récoltes, les volumes disponibles, l’état des stocks et in fine les cours mondiaux et les prix. Selon l’état des lieux effectué par L’Alliance 7 en fin d’année dernière, la campagne 2018-2019 qui a démarré le 1er octobre 2018 s’annonce en demi-teinte. Cela signifie que l’orientation baissière des marchés du sucre et du café devrait se confirmer pour les prochains mois, tandis que la volatilité habituelle du cacao donne peu de visibilité aux industries utilisatrices.

Nutrition

Des barres chocolatées jusqu’aux boissons fraîches en passant par les solutions-repas et les snacks salés, les efforts des industriels sont significatifs afin de proposer des produits snacking plus sains tout en respectant le prérequis de la pause gourmande. Ces efforts sont particulièrement soutenus dans le domaine des BRSA où les fournisseurs sont doublement contraints ; d’une part, la recherche de naturalité conduit les consommateurs à favoriser les boissons les moins sucrées, et d’autre part la fiscalité soumet, depuis le 1er juillet 2018, les boissons à une taxation progressive calculée en fonction de leur teneur en sucres ajoutés par hectolitre. De manière transversale et en réponse aux préoccupations nutritionnelles exprimées par les consommateurs, force est de constater la multiplication des programmes d’informations à l’instar du Nutri-Score ou du Nutri-couleur pour ne citer que les barèmes les plus populaires apposés sur les emballages. Dans ce contexte, la NAVSA ambitionne de « mieux informer les consommateurs en distribution automatique », et de « faire consensus ».

Organisation

La concentration de la profession s’opère depuis plus de vingt ans et la logique veut que non seulement cela ne cesse pas, mais au contraire qu’elle s’amplifie. En effet, la guerre des prix d’une part et les coûts de structure d’autre part vont dans le sens d’une massification des achats et d’un lissage des coûts de structure que l’on mutualise au maximum. L’événement le plus important de l’année 2018 a été la finalisation sur les plans fiscal et capitalistique de l’absorption de Pelican Rouge par Selecta en France, le 1er octobre dernier. Fin d’une histoire dont on parlait depuis longtemps et début d’une autre. Toujours dans les mouvements capitalistiques, Daltys a signé l’acquisition de MaxiCoffee, leader des sites de vente de café et matériel, essentiellement aux particuliers, et qui s’oriente désormais vers les marchés professionnels. Enfin, plus récemment, Dallmayr vient d’intégrer Lille Automatique et les Etablissements Perrin à Tournus (71), ce qui porte le nombre d’agences Dallmayr en France à une vingtaine.

Paiement

La distribution automatique est, sur ce dossier, tout à fait à la page et s’est adaptée rapidement à cette vague de fond que constitue le paiement sans contact. Normal puisqu’en distribution automatique, les micro-paiements sont la règle et le sans contact est justement destiné aux micro-paiements. Très dans l’air du temps également, les paiements NFC ne semblent pourtant pas pour l’instant susciter le même engouement. Il faut donc rester lucides par rapport aux moyens de paiement dans la DA : l’immense majorité des transactions se fait en espèces, notre bon vieux monnayeur-rendeur a encore un avenir radieux. Néanmoins, la prudence nous incitera à rester attentifs à l’évolution des paiements mobiles ; en Asie par exemple, ils sont en plein essor avec des applications comme AliPay ou WeChatPay. On compte dans le monde plus de 950 millions d’utilisateurs d’applications de paiement mobile. Il n’y aurait donc rien de surprenant à constater en Europe une forte expansion de ce mode de paiement. Pour la distribution automatique, le paiement mobile procure l’immense avantage d’entrer en relation avec ses consommateurs, et donc de leur adresser des campagnes marketing pour doper les ventes.

Qualification

La question de la qualification des métiers de la DA n’est à ce jour pas résolue. Approvisionneurs et techniciens apprennent en grande majorité au sein de la société de gestion qui les emploie. Les nouvelles technologies ont de surcroît mis en lumière le besoin de former les équipes à ces nouveaux systèmes qui transforment la maintenance et l’exploitation des machines. Les industriels prennent en charge cette responsabilité en déployant des modules de formation au sein de leurs ateliers ou bien directement chez leurs clients, afin que ces derniers puissent exploiter tout le potentiel qu’amènent ces nouveautés. Du côté des torréfacteurs, la formation est clairement une priorité afin de préserver et de valoriser l’image premium de leurs produits. Pour ce faire, nombreux sont ceux qui ouvrent des centres de formation pour sensibiliser à tous les paramètres qui participent à la qualité optimale du service, de la sélection du café aux réglages et à l’entretien des machines.

RSE

On parle de plus en plus de responsabilité sociétale des entreprises, mais de quoi s’agit-il ? Pour en préciser les contours, Ekodev a mené l’enquête auprès de 1 036 salariés du secteur privé, issus d’entreprises d’au moins 250 salariés. Les personnes interrogées ont défini la RSE comme la contribution de l’entreprise aux enjeux de développement et considéré légitime son investissement aux côtés des états et organisations internationales sur les grands enjeux de cette thématique. Par ailleurs, elles ont cité les principales raisons de l’engagement RSE qui visent principalement à réduire les coûts (énergie, eau, matières, premières…), à répondre aux exigences réglementaires, à prévenir les risques d’image et de réputation, à maîtriser les risques opérationnels (défaillances, accidents…) et à donner du sens au projet d’entreprise. « La RSE reste davantage perçue comme une action défensive que comme une opportunité », conclut l’étude en estimant que « si 27 % des salariés interrogés sont capables de décrire ce que recouvre la RSE, l’environnement reste le volet le plus visible, et les actions ponctuelles sont mieux identifiées que les politiques globales ».

Sécurité

En dehors des habillages blindés et des serrures de nouvelle génération qui garantissent la protection d’un freestanding, des systèmes de sécurité permettent de pallier les actes de vandalisme perpétrés sur les Table Tops. En effet, l’arrivée du format monodose notamment a soulevé la problématique du vol des denrées en entreprise. Pour un meilleur contrôle des ventes, les gestionnaires ont à leur disposition des compteurs de boissons sur certaines machines. On voit également apparaître des systèmes de verrouillage des bacs à grains et à produits solubles dans les gammes des fabricants. Cela garantit que les références insérées dans les réservoirs appartiennent bien au catalogue du gestionnaire.

Thé

Alors que le thé chaud a encore des marges de progrès pour révéler tout son potentiel dans les bacs, les boissons fraîches au thé sont en passe de devenir un des segments « vedette » des ventes en distribution automatique, à l’instar des succès enregistrés en grandes surfaces. Force est de constater les efforts déployés par les fabricants et les distributeurs pour proposer des recettes à base de thé, des thés infusés, natures ou aromatisées, bio ou conventionnelles… L’offre est pléthorique ! Aussi, chaque marque défend les spécificités de son positionnement. La naturalité des recettes et la réduction voire l’absence de sucre arrivent en tête des arguments mis en avant.

Unité

Marché d’impulsion par excellence, la distribution automatique fait, en toute logique, la part belle aux produits conditionnés en formats individuels à consommer en solo. En complément de cette unité de vente qui est la référence historique de la profession, certains fournisseurs majeurs déclinent leurs blockbusters sous des formats girafe, car cette mécanique promotionnelle est réputée pour générer des ventes additionnelles. Dans un esprit différent, d’autres jouent la carte de la satiété via des formats unitaires copieux qui font recette dans les solutions-repas par exemple. En matière de confiserie, une nouvelle tendance se dessine, à l’opposé de la petite confiserie de poche ; elle consiste à introduire dans les spires la notion de partage voire de consommation fragmentée.

Végétal

Effet de mode ou tendance de fond, cette orientation résulte de la multiplication des scandales alimentaires, de la remise en cause des bienfaits supposés du lait et de la viande et de la sensibilité accrue au bien-être animal qui poussent les Français à se détourner des produits carnés au profit des protéines végétales telles que le soja, les céréales et les légumineuses. L’alimentation végétarienne et vegan a généré en 2018 un chiffre d’affaires en hausse de 24 % dans les grandes surfaces, calculé à 380 millions d’euros (hors épicerie salée) selon les experts de Xerfi. Ce montant est comparable au marché du « sans gluten » mais 10 fois inférieur à celui du bio. En prenant ses aises dans les rayons, en s’installant à la carte des restaurants et en s’invitant de plus en plus dans nos assiettes, le marché de l’alimentation végétarienne et vegan en GMS s’envolera au rythme moyen de 17 % par an pour dépasser les 600 millions d’euros à fin 2021, pronostiquent les experts de Xerfi.

Worldwide

Les lieux de passage comme les gares, les aéroports et les aires d’autoroute sont un levier de croissance de plus en plus important pour les enseignes et les marques qui rivalisent d’imagination pour offrir une pause aux voyageurs pressés ou, à l’inverse, à ceux qui ont le temps de se poser. Face à ce potentiel juteux, le marché du « travel retail » est investi par de grandes maisons de torréfaction, qui déploient leur concept « to go » sous forme de kiosques. Ces unités de petits formats permettent notamment aux marques d’accentuer leur visibilité et d’asseoir leur notoriété auprès des particuliers, en dehors du réseau CHR classique. Selon Xerfi Precepta, le travel retail qui a généré près de 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2017, franchira la barre des 7 milliards en 2020.

Yuka

En matière d’assistants numériques permettant aux consommateurs en mobilité de s’informer sur la composition et les valeurs nutritionnelles des produits, la notoriété de cette application serait en passe de rejoindre le vocabulaire des marketeurs et des observateurs qui vont même jusqu’à parler d’une « yuka attitude ». Dans le sillage de l’application historique qui lance une version premium à 15 euros par an, assortie de nouvelles fonctionnalités, FoodVisor, ScanUp ou encore Kwalito comptent parmi les start-ups du bien-manger qui rivalisent d’imagination afin de coacher notre alimentation quotidienne, et de faire des adeptes. En effet, un sondage réalisé par OpinionWay en septembre 2018 établit que 86 % des Français ont de fortes attentes sur les produits alimentaires qu’ils achètent, et cette proportion augmente avec l’âge pour concerner 79 % des 18-24 ans et 92 % des 50 ans et plus.

Zen

On parle toujours, et aujourd’hui plus que jamais, d’environnement propice à la détente où les espaces Vending et/ou caféterie – à condition qu’ils soient bien pensés – contribuent à l’accueil et au bien-être des consommateurs en quête d’expériences, de tranquillité et d’échanges. C’est d’ailleurs sous le signe de « Feel Good » que se place la 16e édition de Vending Paris ; ce fil rouge valorisera la distribution automatique et l’univers de la caféterie en entreprises, en mettant en scène différentes situations qui constituent autant de vecteurs d’amélioration de la qualité de vie au travail.

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Retrouvez cet article en intégralité dans DA MAG n°169
Mars 2019

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FD Conseil est expert du marché de la distribution automatique et exerce depuis 20 ans. FD Conseil édite www.da-mag.com, le portail de la distribution automatique ; DA MAG, le magazine de référence du marché. Egalement, FD Conseil crée des e-services marketing métier, comme les étiquettes pour touches de sélection.

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