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AccueilAnalyses métierDématérialisation : quel impact pour la DA ?

Dématérialisation : quel impact pour la DA ?

titre restaurant
titre restaurant

Le 2 avril, les Titres Restaurant pourront être dématérialisés, c’est-à-dire portés sur un support électronique. Ceci pourrait être une bonne nouvelle pour les Gestionnaires, rompus aux systèmes de paiement électroniques. DA MAG fait le point sur cette avancée et sur ce qu’elle peut changer pour les sociétés de gestion.

On attendait la promulgation du décret qui légaliserait la dématérialisation des Titres Restaurant, c’est fait depuis le 2 avril où les Ticket Restaurant, Chèque Déjeuner et autres Titres pourront désormais être chargés sur un support électronique de paiement, un terme volontairement large car en la matière, plusieurs types de supports seront disponibles, de la carte à puce avec ou sans contact (en option) au téléphone NFC, selon l’émetteur du Titre Restaurant.
Bien évidemment, cette dématérialisation concerne la DA dès lors qu’elle commercialisera des produits de restauration, dans des entreprises dont les personnels reçoivent des Titres Restaurant.

Des conditions d’utilisation plus strictes
La dématérialisation entraîne un resserrement des conditions d’utilisation comme le plafond de 19 € et deux titres maximum par jour ou l’interdiction d’utilisation le dimanche et les jours fériés.
En ce qui concerne le plafond de 19 €, Nicolas Bodilis-Reguer, Délégué Général de NAVSA, plaide le bon sens : « Ne pas dépasser 19 euros par jour en TR est un faux débat en DA. La première des questions dans notre secteur est de savoir comment amener les salariés à dépenser 6, 7, 8 euros dans les DA. Il faut pour cela réorganiser notre offre, c’est ce que les gestionnaires ont commencé à faire ». En revanche, les bénéficiaires y trouveront des avantages, comme la sécurisation de leurs titres : s’ils perdent leur carte, ils conservent leur solde, ce qui est impossible avec des titres papier ; ou le report des sommes non consommées d’un mois à l’autre. De même, l’inconvénient de l’absence de rendu de monnaie disparaîtra puisque les débits se feront au centime près et le ticket sera fractionnable. Le client pourra ainsi consommer sans problème sur plusieurs machines pour acheter par exemple un sandwich et un dessert.
Bref, chacun y trouvera des arguments pour passer à la dématérialisation ou au contraire rester au papier.
Schéma commercial
Si l’on observe comment les choses se passent, il en ressort qu’aujourd’hui des émetteurs comme Edenred, Natixis, Chèque Déjeuner ou Sodexo passent des contrats avec des entreprises pour les fournir en Titres Restaurant d’une valeur faciale donnée avec un abondement donné. Assez souvent, les entreprises prennent leur décision en fonction des avis des Comités d’Entreprise, voire la leur délèguent.
Ce sont donc ces mêmes émetteurs qui iront voir leurs clients pour leur vendre un service dématérialisé en remplacement de leurs titres en papier. Ou d’autres, car la dématérialisation va aussi entraîner l’apparition de nouveaux acteurs comme Moneo Resto. On l’aura compris, la décision échappe totalement aux Gestionnaires, qui constateront site après site si les collaborateurs détiennent des titres papier ou dématérialisés.
A ce stade, il sera important de savoir quels types de carte et de contrat ont été choisis par l’entreprise cliente, ce qui permettra au Gestionnaire en place d’adapter sa monétique au type de solution retenu localement. Mais en tout état de cause, et c’est plutôt positif, il n’y a en général qu’un seul émetteur par entreprise, ce qui limitera les contraintes pour les Gestionnaires.

Les types de supports
Quand on fait la synthèse des différents supports proposés par les émetteurs, historiques comme émergents (Moneo Resto et Restoflash), on se rend compte qu’il y aura des cartes à puce à contact avec ou sans code PIN et en option sans contact, voire pas de carte du tout avec une solution NFC sur téléphone portable. Mais au final ce n’est pas tant le type de support qui compte en la matière, mais bien de savoir si la carte est de type bancaire EMV (Europay, Mastercard, Visa) ou s’il s’agit d’une carte de type Conecs.
Pour Alain Huc, d’Ingenico, nous avons deux schémas possibles. Dans le premier cas, dit « 4 coins », celui des applications CB comme Mastercard ou Visa, il n’y a pas de problème majeur. En effet, il n’y aura aucun logiciel à implanter ou matériel à changer : le TPE du commerçant est d’ores et déjà apte à accepter une carte Titre Restaurant, la transaction s’inscrivant dans le cadre du contrat d’acceptation bancaire signé entre le commerçant et sa banque. Une précision toutefois, le terminal doit être certifié GIE CB.
Le deuxième cas de figure est dit « contrat Conecs ». Les quatre émetteurs historiques (Edenred, Natixis-Intertitres, Sodexo et Chèques Déjeuner) se sont regroupés dans Conecs pour aborder mutuellement la dématérialisation des titres. Là, il sera nécessaire de télécharger un complément logiciel pour fonctionner sur les terminaux de paiement, logiciel développé par chacun des fabricants pour ses propres matériels. La solution devra aussi impérativement répondre aux mêmes critères de sécurité que le paiement bancaire puisque les cartes sont sur des bases EMV. Et utilisant le réseau bancaire, elle devra aussi être agréée. Il est donc prévisible que certains développeront ce logiciel, plus ou moins rapidement, tandis que d’autres en feront l’impasse.
A noter, certains émetteurs auront des supports répondant aux deux schémas, EMV et Conecs, comme Edenred par exemple avec ses Tickets Restaurant.

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Avril 2014 - Mots clés : dématérialisation, NAVSA, système de paiement, titre restaurant

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FD Conseil est expert du marché de la distribution automatique et exerce depuis 20 ans. FD Conseil édite www.da-mag.com, le portail de la distribution automatique ; DA MAG, le magazine de référence du marché. Egalement, FD Conseil crée des e-services marketing métier, comme les étiquettes pour touches de sélection.

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