Connu et apprécié pour accepter la plupart des supports de paiement électroniques, NAYAX est un système ouvert qui répond à de nombreux cas de figure de vente de produits et de services « unattended », c’est-à-dire sans personnel. Eric HOURI, dirigeant de GTI, nous livre quelques exemples d’application sur le terrain.
« NAYAX n’est pas seulement un terminal de paiement évolué pour la distribution automatique, c’est d’abord et avant tout un outil spécialisé pour les automates de vente de toute nature » précise Eric Houri. En effet, NAYAX déborde largement du Vending, pour parfaitement s’intégrer dans des armoires, des bornes, etc. Dans le Vending, les marchés verticaux présentent beaucoup d’intérêt : fleurs, pain, parapharmacie, produits agricoles…
Des intégrations multiples
Entre autres spécificités, NAYAX fonctionne sous différents protocoles qui permettent des actions impossibles avec du classique MDB. Par exemple, dans le lavage auto, NAYAX va permettre de déclencher une impulsion pour mettre en marche un aspirateur et décompter du temps jusqu’à épuisement du crédit. Dans le même esprit, le MDB sait gérer un prix fixe, mais ne permet pas les transactions dont le prix n’est pas fixe et dépend d’un volume ou d’un poids inconnu à l’avance. NAYAX a développé le protocole Marshall qui le permet. Prenons l’exemple de bornes de recharge électrique pour voitures. On ne sait pas à l’avance combien de temps va durer la recharge. Grâce à NAYAX, le prix est calculé en fin d’opération et le client est débité du montant exact de ses consommations. Dans le même cas de figure, NAYAX peut gérer jusqu’à huit sessions imbriquées : il est donc possible de gérer huit transactions de paiement en simultané. Dans un autre domaine, les applications collaboratives de NAYAX vont rendre possible de gérer un ensemble de services différents, typiquement dans un bâtiment avec des services associés, comme une Cité U, où l’on peut trouver des services de restauration, de la DA, un photocopieur, une laverie, etc. Grâce à un système très ouvert, il suffit d’apporter la brique d’intégration pour que chaque élément de la chaîne puisse fonctionner en autonomie dans un ensemble. Comme le fait remarquer Eric Houri, « l’ADN de NAYAX a toujours été d’être ouvert pour faciliter l’intégration d’autres éléments. »
Une vaste bibliothèque
Depuis son origine, NAYAX s’est toujours attaché à développer des applications, des briques de programmes ou des API (un programme qui fait tourner d’autres logiciels), constituant de ce fait une bibliothèque très riche et qui permet donc d’être compatible avec de très nombreux logiciels. Ceci rend le système très puissant car il peut répondre ainsi à la plupart des configurations. C’est d’autant plus intéressant que de nouvelles façons de vendre automatiquement arrivent sur le marché, notamment avec les armoires réfrigérées connectées ou les Micro-markets, où le consommateur se sert en libre-service et est débité de ce qu’il a pris dès qu’il referme la porte. Il est aussi possible désormais de commander un produit sur Internet et de se le faire réserver dans un automate où le client va chercher sa commande. « En synthèse, NAYAX est une solution qui intègre tout l’environnement autour du paiement et de la data, qu’elle concerne le paiement ou l’automate. Grâce à cet environnement riche de fonctionnalités, nous construisons des solutions sur-mesure qui vont bien au-delà d’un simple terminal de paiement », conclut Eric Houri.